Comment on en arrive là ?

Il n'y a pas si longtemps j'étais "normal", 9 ans environ, puis ayant des poules pondeuses qui ne pondaient pas, j'ai participé à un stage de 2 jours en géobiologie. Dès que j'ai touché les baguettes de radiesthésiste, j'ai ressenti l’excitation d'un enfant avide d'explorer et de découvrir.

Après 6 mois de pratique en radiesthésiste, une perception nouvelle s'est imposé, je n'étais plus le poisson rouge dans le bocal mais l'eau du bocal, et je découvris alors la perception tactile hors de mon corps physique...

Tout était pour le mieux, tant que je percevais que ce qui était codifié dans ma pratique, à savoir la nature géologique du sol (veine d'eau et faille principalement).

Les phénomènes géobiologiques ne bougent pas (à l'échelle de notre temporalité individuelle), tout s'est donc corsé quand j'ai ressenti des phénomènes bougeant autour de moi. L'inconnu s'est glissé jusqu'à moi, avec son lot de peurs et de solitude.

J'ai rencontré mes peurs inconscientes sur un plan subtil mais perceptible, autant de traversés du désert. 

La vie après la mort, les entités non humaines, le mauvais sort, ça été le grand déballage... De fils en aiguille, j'ai réussi à interagir positivement, c'est à dire à passer les âmes, harmoniser les phénomènes géobiologiques et enfin reprendre la main sur les interactions extérieures. Naturellement, en plus de mon activité agricole, je suis devenu géobiologue professionnel puis énergéticien. Je me suis nourri d'un super auteur, Stéphane Cardinaux et d'un super formateur Yann Lipnick.

Cette pratique a fini par me faire comprendre qu'il n'y a pas de hasard, par exemple certaines personnes attirent certains phénomènes subtils et que certaines pathologies énergétiques reviennent si la personne n'évolue pas.

J'ai alors élargi mon regard et compris que mon plus gros problème dans ma vie, c'était moi car j'attire ce que je suis. J'ai eu la chance de pouvoir vivre de grand moments thérapeutique avec Christophe Allain, Carine Allain et Pascal Gomès, au fur et à mesure des séances non seulement je voyais plus clair dans ma vie mais mes perceptions grandissaient. C'est donc grâce à cet élan que j'ai accepté de me laisser aller à moi et que ma vocation de thérapeute (ou accompagnant) s'est imposé, contre toute attente consciente.

 

Pour faire court

Ma plus grande ambition, c'est le développement personnel, c'est à dire vivre ce qui me plait. Ce chemin conduit à soi car les faux désirs se consument en les vivant et laissent ainsi émerger ce qui nourrit vraiment.

C'est dur mais gratifiant car ainsi délesté, on se rencontre.

Par exemple lorsque la vocation thérapeutique a pointé le bout de son nez, je me suis d'abord rebellé, "tout mais pas ça" car la relation à l'autre était encore trop conflictuelle dans mon cas. Pourtant quand je "dépannais" un proche et qu'une tension dans sa structure inconsciente lâchait, c'était une sensation de jouissance, d'accomplissement et de bien être. Se laisser aller à soi, c'est juste reconnaître ce qui nous plait et de le vivre !

Cette ambition personnelle, je la vis donc en interaction avec vous, pour notre évolution collective.

 

Et les perceptions alors ?

Ma perception la plus forte est entre le tactile et l’olfactif, primitif donc mais ayant l’avantage d'explorer les éléments les plus profonds de nos structures. C'est comme si le poisson rouge avait des cellules tactiles dans tous l’aquarium, il touche donc en continu tout se qui s'y trouve. Une incohérence dans la structure inconsciente est donc une tension, une friction pour moi. Lorsqu'un schéma est libéré, la structure prends une nouvelle posture libre et sans tension.

En plus de cette manière de percevoir, j'ai accès à la clair-info et la vision symbolique. J'ai donc des concepts, des phrases qui s'imposent en moi ainsi que des images métaphoriques. Le tout permet de rationaliser la part inconsciente en jeu et de la rendre intelligible pour le conscient.

 

Enfin

J'aime pouvoir tout ramener à des éléments proches de notre vie incarné.

Les étoiles, ce sera pour plus tard, aujourd’hui on est sur terre !

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